mardi 1 septembre 2009

Message du Collectif Ashtar canalisé par Simon Leclerc (printemps 2009)


Sur la conscience que nous avons de notre âme et le respect pour notre corps...

Salutation à vous, chers enfants de la Terre,

Il nous fait vraiment plaisir de nous présenter à vous et d’ajouter un autre volet à nos enseignements. Ceux-ci permettent de rejoindre des Êtres à la recherche d’une plus grande compréhension de l’Âme, ce qui correspond à notre niveau de service.

Au-delà de l’incarnation, vous existez de façon beaucoup plus subtile et plusieurs aspects de vous continuent de vivre sous cette forme en ce moment. La portion la plus pure de ces aspects, c’est votre duo Âme-Esprit, votre Être Christique.

Si vous vous projetez dans l’Univers à partir du plan terrestre, dans la forme que vous avez en ce moment, vous réalisez rapidement que les références que vous avez sur Terre n’existent plus. Mais puisque l’Âme comprend la psyché humaine, elle va se présenter à vous sous l’apparence d’un sage, une énergie amour et conscience. Cependant, il faudra comprendre que ceci est un revêtement, puisqu’elle n’a pas cette forme. L’Âme est une énergie. À la base, vous êtes donc énergie.

Seulement, les paramètres de votre vie ont fait en sorte que cette énergie a pris des formes, des tangentes, des angles, des rondeurs, des longueurs qui vous définissent en ce moment, dans une apparence physique. En fonction de certains paramètres biologiques, électrochimiques et physiologiques, la projection de votre Âme sur Terre va créer une structure de vie, un vase d’accueil, que vous nommez le corps physique, qui permettra à un aspect d’elle de se déployer dans la matière.

Le respect du corps physique
Plusieurs Êtres sont dépourvus de la sensation de l’Âme qui les habite, parce qu’ils sont trop intensément identifiés à leurs corps physiques. Et paradoxalement, ces Êtres qui s’associent uniquement au corps ont de la difficulté à le respecter. Ils s’identifient totalement à la vie sur Terre, s’imaginent qu’ils sont un corps et seulement cela, et en même temps, sachant ceci, ils l’utilisent comme s’il était un serviteur qu’ils peuvent disposer lorsqu’il n’est plus de service. Il est intéressant de l’observer.

D’une certaine manière, il est vrai que le corps est « disposable », puisque dans la tridimensionnalité, il a un début, un continuum de vie et une fin. Mais en même temps, il se présente comme un disciple respectueux et serviable, et non comme un serviteur à la merci de la conscience.

Exister au-delà du corps
Les Êtres humains en général ont un défi à imaginer qu’ils existent au-delà du corps, parce que cette vie est impalpable et surnaturelle. Et les Êtres conscients comme vous avez aussi de la difficulté à concevoir que vous êtes d’abord une Âme et un Esprit projetés dans un corps physique, puisque tous vos repères existent dans la tridimensionnalité, ce qui compose votre univers. La suggestion vous est difficile parce que vous avez l’impression que vous pourriez ne plus exister, ce qui soulève une peur très répandue chez les humains.

En soulignant ceci, notre intention n’est pas d’invalider cette peur, mais de reconnaître qu’il soit difficile pour plusieurs d’entre vous de vous abandonner à l’Âme, puisque sa forme vous inquiète; une énergie non définie, contenue dans un espace représentant ce que vous êtes, et qui vous invite à vous y fondre, alors que vous êtes tellement attaché à la forme. Si cela est vrai pour vous, imaginez ce qu’il en est pour les Êtres inconscients des réalités de l’Âme en ce moment et qui se réveilleront. Il sera intéressant de contempler ce concept pour mieux accompagner vos frères et sœurs incarnés vers la découverte de l’Âme, de sa compréhension à son intégration au quotidien dans vos vies. Car tous les Êtres tendent vers ce but ultime, qu’ils en soient conscients ou non.

Cet écrit nous permet d’apporter des éclairages plus vastes sur les notions d’Âme, d’Esprit et de Corps, mais surtout, il nous permet de créer des ancrages, pour que les lecteurs qui captent nos mots puissent aussi capter leur essence. Nous vous invitons donc à ressentir qu’en ce moment, un pont vibratoire entre votre Âme et vous est en train de s’effectuer, afin de vous permettre de mieux comprendre la sensation de ce que vous êtes réellement. Prenez une pause maintenant et ressentez les bras enveloppants de votre Âme qui vous entourent.

(Pause)

Bien qu’elle puisse paraître intangible, votre Âme est plus près de vous que ne l’est l’oxygène qui pénètre vos poumons. Elle est contenue à la fois dans l’air et dans chacune des cellules qui composent vos poumons et votre corps. Alors, où se trouve l’Âme ? Si elle n’est pas localisée dans un lieu précis, peut-être est-elle partout à la fois ?

La « station » céleste
- Lorsque vous me disiez lors d’une canalisation récente « Nous, de notre station… » en fait où est-elle cette station ? Et quel est votre rôle aujourd’hui ?

Habitués de vivre dans des lieux, des villes, des cités et des contrées, les Êtres humains s’imaginent naturellement que l’Univers fonctionne de la même manière. Cette question réfère directement à cette notion souvent mal interprétée.

Sur Terre, les Êtres cohabitent, et pourtant, ils ne portent pas tous le même rythme vibratoire. Mais ils se voient, se côtoient et entrent en relation les uns avec les autres, malgré les différences de conscience. Cette particularité est présente sur Terre, mais dans les mondes subtils, les Êtres sont magnétiquement attirés vers les sphères de vie correspondantes à leur état, à leur capacité d’incorporer le rythme vibratoire de la lumière et de la vie de ce « lieu ». Plus un Être maîtrise son rythme vibratoire et a conscience de l’amour qui l’habite, plus il sera en mesure de naviguer parmi les mondes et de se déplacer dans les plans de conscience denses et subtils.

Il existe des points de rassemblement que nous pourrions nommer des dimensions carrefours. Mais si un Être n’a pas développé la faculté de s’alléger parce qu’il est préoccupé, chargé, surchargé par les lourdeurs de sa vie et attaché à la matière, il n’y aura pas accès. Non pas parce qu’il ne le méritera pas, mais il n’en aura tout simplement pas la capacité, puisque ses lourdeurs et ses attaches le retiendront, tel un boulet qui empêche une montgolfière de s’envoler. Il n’y a pas de punition cosmique qui est en jeu ici, mais les rythmes vibratoires seront incompatibles.

Un état vibratoire
La « station » dont vous faites référence n’est pas un lieu physique, mais un état vibratoire. Il est vrai qu’il existe des vaisseaux aux dimensions démesurées, selon vos standards humains, pour lesquels vos plus grands scientifiques et vos constructeurs seraient totalement dépassés par leur complexité et leur ampleur. Mais ils ne sont pas associés à des lieux. Ils correspondent plutôt à des états de conscience. Vos Âmes connaissent d’ailleurs très bien ces vaisseaux, puisque vous y gravitez régulièrement. Dans des passés, des présents et des futurs parallèles, tous les Êtres connaissent cellulairement ces sphères de vie. Ce sont des planètes volantes qui se déplacent en créant leur propre orbite, selon des règles tout aussi organisées que celles de votre Terre.

D’ailleurs, une planète ne serait-elle pas un vaisseau conscient, parcourant une orbite tout aussi consciente ? Tout dans l’Univers s’inscrit dans une globalité très structurée et parfaitement imbriquée, où tout est relié et magnifiquement bien orchestré. Et vous êtes les passagers de ce vaisseau Terre qui abrite l’une des vies les plus diversifiées de votre univers.

Nous pourrions donc répondre spécifiquement à votre question en disant que nous habitons, ou plutôt qu’un aspect de nous habite l’un de ces vaisseaux volants. Mais en même temps, si vous tentiez en ce jour d’utiliser vos télescopes pour capter nos présences autour de votre Terre, vous constateriez qu’elles sont invisibles. Et alors, vous pourriez dire « mais ce message est erroné », alors qu’en réalité, le rythme vibratoire est simplement différent.

La multiple présence
L’état de conscience dans lequel nous habitons nous permet de vivre la multiple présence. Ceci fait en sorte qu’un aspect plus dense de nous gravite dans une sphère de vie volante, et en même temps, nous sommes conscients de nous projeter vers les humains de la Terre , pour leur offrir notre lumière et notre amour. Nous leur rappelons ainsi que nous sommes tous membres d’une même famille universelle et qu’eux aussi ont les mêmes capacités que nous.

« De la station d’où nous sommes » est un état de conscience nous permettant d’observer les humains. C’est un peu comme un Être qui en observe un autre circuler dans un labyrinthe. L’Être qui regarde n’a pas plus de mérite ou de talent que celui qui marche à l’intérieur. Cependant, il a un regard différent sur la vie dans le labyrinthe, ce qui lui permet de découvrir de nouvelles solutions et de les inspirer à celui qui expérimente, pour que ce dernier puisse trouver la sortie plus aisément.

Les différentes options
Cet exemple ne suggère pas ici que les Êtres soient coincés sur Terre dans une structure sans fin, mais plutôt qu’ils fonctionnent dans des couloirs de vie, des lignes droites et des courbes, avec des intersections, des jonctions et où des choix leurs sont présentés. Dans notre exemple, ces choix sont représentés par les différentes voies du labyrinthe. Certaines donnent l’impression d’être sans issue parce que l’Être ne semble pas s’épanouir en les empruntant, alors que d’autres mènent vers la liberté véritable. « De notre station », nous pouvons percevoir les voies qui favorisent le retour des Êtres vers la lumière.

Maintenant, les autres voies ne sont pas à juger non plus. Si l’Être en emprunte une plus sombre, elle lui permet d’en constater la lourdeur et de faire de nouveaux choix plus légers par la suite, lorsqu’il en sentira l’appel. L’ombre invite les Êtres à choisir la lumière avec davantage d’intensité. Elle fait parti de l’aventure humaine et est magnifique en soi. C’est lorsque l’Être tente de s’y opposer et de la « démoniser » qu’il lui donne toute sa force et en devient victime.

Notre présence près de vous a pour but de vous offrir un regard plus vaste sur vous-même. Ce regard correspond à celui de votre Âme. D’ailleurs, les Êtres que vous nommez « des Étoiles », pourraient-ils être des aspects de vous du futur ? Voilà une question qui invite une réflexion de votre part.

Salutations à vous

Le Collectif Ashtar et la Grande Fraternité Universelle

http://www.psychologiedelame.com/

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire